Great Divide #19, Un poème sans frein

Publié le 22/09/2018

Je savais mon yak un poème sans frein, mais voilà qu’aucun d’entre eux ne répondait plus. Je m’escrimais à marcher en descente et le retenir par ses cornes, sous un orage malvenu. Trois canyons d’affilée. Et parfois à user de ma semelle gauche en guise de frein. L’unique fois où j’ai béni le gravier et la tôle ondulée de me ralentir. Un comble de cycliste! Un employé de la voirie a finit par me prendre dans son camion pour les derniers 17 miles et cette belle descente qui mène à Silvercity!…Un guérisseur de petites reines de la place a remis le yak à flot.Great Divide #19, Un poème sans freinLes Rocheuses sont définitivement derrière et le désert de Chihuahua devant. Je ne suis plus qu’à quelques jours seulement du sprint final de la Great Divide…

Gresat Divide #19, The Bike House, SilvercityGresat Divide #19, Un poème sans freinAprès avoir bouclé la Tour Divide en 2008, parcourue en seulement 21 jours, Jamie Thompson, prend son temps. IL a décidé de faire de sa maison une « Bikehause »: Bienvenue à tous les êtres étranges ou à deux roues!Gresat Divide #19, The Bikehause, SilvercityGresat Divide #19, The Bikehause, Silvercity 1Gresat Divide #19, The Bike House, Silvercity 3